l'Alternative Crédible

Le think-tank du centrisme populaire, des  gilets jaunes  et du      mouvement 5 étoiles France.

 

Au nom de l’intérêt collectif, et au nom de nos convictions centristes, nous voulons aider Emmanuel Macron à réussir. Notre pays ne peut pas encore perdre un quinquennat. Mais pour que le renouvellement politique réussisse dans la durée, il est indispensable qu’il s’accompagne d’un « renouvellement des idées ». Au-delà du dépassement salutaire de la bipolarisation en faisant travailler ensemble des personnes de gauche, du centre et de droite, le renouvellement politique passe surtout par la capacité à s’affranchir des cadres de pensée traditionnels. L’originalité de notre mouvement « L’Alternative Crédible » est de refuser autant les solutions technocratiques et les dictats de la bien-pensance que les solutions démagogiques des extrêmes. Elle est aussi de rechercher une créativité rafraichissante dans notre société où la pensée est trop standardisée et formatée.

 

Trois exigences nous guident dans la conception d’idées neuves, qu’elles soient efficaces, humaines et porteuses « d’un parti-pris pro-peuple » assumé. Porteurs de l’héritage intellectuel et des combats politiques de la famille centriste, militants et sympathisants des campagnes de Bayrou en 2007 et 2012, de Borloo en 2013, de « l’Alternative » lors des européennes de 2014, et de Juppé et Macron en 2017, nous voulons représenter « un centrisme populaire » ouvert aux citoyens venus de tous les milieux sociaux.

 

Nous vous proposons ci-dessous 24 idées constitutives d’un projet de société global et alternatif dont l’objectif fondamental est de « rendre notre société d’aujourd’hui plus humaine pour tous et plus particulièrement pour les plus fragiles ». Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive d’un programme politique complet, mais chacune de ces 24 idées est emblématique d’une facette essentielle de ce projet.

 

En espérant que ces idées proposées par l’Alternative Crédible vous redonneront l’envie de participer au débat public, et même de contribuer à nos travaux.

 

Ensemble, concevons un monde plus humain !

  Philippe Dervaux

Président de l’Alternative Crédible et coauteur de « La Riposte Centriste »

PS : N’hésitez pas à commenter, compléter ou contester, et si vous aimez, à nous soutenir par un  !

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La suppression de la Mairie de Paris et son remplacement par une Mairie du Grand Paris, la fusion des départements 75, 92,93 et 94 en un seul et la suppression des EPT et de la Métropole du Grand Paris :

Londres l’a fait, pourquoi pas Paris ? Pourquoi cumuler une Mairie de Paris, une Métropole du Grand Paris, des Etablissements Publics Territoriaux, 4 départements et des Mairies d’Arrondissement ? Gabegie et, à cause de la dispersion des centres de décision, impossibilité de mener la moindre politique efficace sur le logement, la pollution, les transports, … ! Le Grand Paris est une magnifique idée qui est en train d’être gâchée sous la pression des corporatismes et de la technocratie. Osons les affronter sans complexe. D’autant que se joue là une question plus vaste, celle de la réduction des dépenses publiques. Comment s’y prend-t-on ? Fondamentalement, 2 options sont possibles. Soit on réorganise l’administration et on simplifie le mille-feuille institutionnel, soit on fait une politique d’austérité avec ses effets récessifs et ses conséquences sociales. Soit la réorganisation, soit l’austérité ! Le choix de l’Alternative Crédible est clair. Nous militons pour une grande réorganisation, faite dans le respect des personnels et des usagers des services publics.  La question du Grand Paris a une valeur symbolique dans ce choix. Menons le combat pour convaincre Emmanuel Macron de faire le choix de vraies réformes pour réduire les dépenses publiques, tout en épargnant au peuple une cure d’austérité.

 

La mise en application immédiate du Rapport Badinter comme réforme du code du travail :

Le code du travail est trop complexe en France. C’est une évidence dont les chômeurs ainsi que les dirigeants et les salariés des TPE, PME et ETI sont les premières victimes. Mais la simplification du droit du travail ne doit pas vouloir dire son démantèlement. Nous disons OUI à la simplification, mais NON à la course au toujours plus de « flexibilité » au nom de la recherche de « compétitivité ». Et c’est possible. C’est dans cet esprit qu’a été rédigé le rapport Badinter. La CFDT et le MEDEF l’ont approuvé. Alors, pourquoi perdre encore du temps à concevoir une nouvelle réforme alors qu’il en existe déjà une toute prête ? Pourquoi commander des rapports puis les enterrer?

Pour ce qui est de la réforme proposée par Emmanuel Macron, nous la soutenons, notamment la possibilité de démissionner une fois tous les 5 ans ou l’adoption d’un barème des indemnisations aux prud’hommes. Mais cette « fluidité » apportée au marché du travail, si elle a des effets positifs, elle a aussi des limites. Elle doit être une correction des excès antérieurs et donc la dernière dans ce domaine, et non le début d’un processus de démantèlement sans fin du droit du travail. 

 

L’humanisation-optimisation de l’administration :

Une dépense publique record, mais de moins en moins d’agents pour servir le public. Des bureaux de poste, des agences des impôts, des hôpitaux régionaux, des tribunaux, … ferment partout en France, pourtant le nombre d’agents du public ne cesse d’augmenter. Pourquoi ? Parce que les procédures internes sont de plus en plus lourdes et la gestion des restructurations est purement comptable. Comment y remédier ? Nous proposons une nouvelle forme d’organisation qui a fait ses preuves dans les pays nordiques, un triptyque : 1) simplification des lois, des normes et des réglementations, 2) informatisation des services arrières et transfert de personnels du back au front office, 3) plus d’autonomie et moins de hiérarchie dans le management des fonctionnaires.

PS : dans ce domaine, nous approuvons complètement la proposition d’Emmanuel Macron d’accorder « un droit à l’erreur » pour le chef d’entreprise vis-à-vis de l’administration.

 

La retraite à points :

C’est d’abord une mesure de justice sociale. Cela facilitera la vie de tous ceux qui ont des carrières hachées, notamment beaucoup de femmes. Cela prépare en douceur la fin des régimes spéciaux et met chacun à égalité devant la préparation de sa retraite. 1€ cotisé = 1 point promet Emmanuel Macron et il a raison. Nous soutenons cette réforme. Mais nous devons rester vigilants sur la valeur du point.

 

Une assurance perte d’autonomie obligatoire :

La perte d’autonomie est un problème complètement sous-estimé en France. Aujourd’hui il touche des générations qui généralement avaient du patrimoine. Les Conseils Généraux proposent des aides qu’ils récupèrent ensuite sur la succession. Ce sont donc souvent les héritiers qui paient l’addition. Mais qu’arrivera-t-il demain quand des générations dont la moitié des personnes n’ont pas de patrimoine seront touchées à leur tour ? Rien n’est prévu, notre système social n’est pas adapté pour faire face, d’autant que ce problème sera aggravé par le vieillissement de la population. La solution que propose l’UDI est la bonne. Comme il n’est pas possible de recruter des personnels publics, ouvrons ce marché aux assureurs privés. Rendons obligatoire la souscription d’une assurance perte d’autonomie. Plus elles auront d’adhérents, meilleurs seront leurs prestations.

 

Le syndicalisme universel :

Le paritarisme est obsolète. Il ne défend que certaines catégories de personnels fonctionnaires ou CDI et ignore les autres. Mais nous avons besoin aujourd’hui, plus encore qu’hier, de syndicats forts et représentatifs. La solution ? Le syndicalisme universel. C’est l’adhésion automatique, moyennant une cotisation modeste de 5€ /mois de tout citoyen en âge de travailler à un syndicat de son choix.

 

L’affichage du prix producteur, un Small Business Act à la française, la multiplication par 2 des points du permis pour les professionnels, l’autorisation pour les artisans dans les grandes villes de stationner juste devant l’immeuble d’intervention, … :

Tout ce qui facilite la vie des entrepreneurs est bienvenu. Les petites attentions quotidiennes, comme les actions de régulations protectrices et bienveillantes, contribuent à créer un environnement amical pour l’entrepreneur. C’est bon pour le dynamisme économique, pour l’emploi et pour le climat social. Moins de stress pour les entrepreneurs et pour leurs salariés, c’est une société plus harmonieuse pour le bien de tous.

 

Les coopératives comme solution de reprise, la sauvegarde des savoirs-faire:

Certes, dans une économie libérale il est normal que les entreprises les moins performantes périclitent et que de nouvelles naissent et croissent. Mais la perte de savoirs-faire indiustriels et techniques est toujours une perte pour la collectivité. Le transfert de technologie est une perte de souveraineté économique qui n’est jamais anodine. La perte de savoirs-faire humains est toujours un drame. Alors, lorsque des salariés croient en leur entreprise, avant toute fermeture, donnons-leur une chance de la sauver, de conserver les savoirs-faire et de sauver les emplois en leur permettant systématiquement de créer « une coopérative de reprise », sans qu’il y ait besoin d’une autorisation de la justice, et avec des avantages fiscaux importants.

 

L’interdiction des transactions financières avec les paradis fiscaux, une loi FATCA européenne, la refonte de la directive travailleurs détachés, le paiement de l’impôt pour les multinationales dans le lieu de consommation, la limitation de la complexité des instruments financiers :

Depuis la crise des subprimes de 2008, rien de sérieux n’a été fait pour réguler la finance. Avec la politique des banques centrales de quantitative-easing, les conditions sont réunies pour l’éclatement de nouvelles bulles. Avec l’émergence de la nouvelle économie, les phénomènes de concentration des pouvoirs économiques et de disparition progressive des emplois bien payés partout dans le monde, une politique forte de régulation est indispensable. Ces mesures de bon sens sont urgentes. Manque juste le courage politique.

 

L’abrogation ou la renégociation de TAFTA et CETA :

Le commerce international et les échanges économiques d’une façon générale sont positifs pour l’économie et générateur de richesses à une condition : qu’il y ait de l’équité dans les échanges commerciaux. Mais TAFTA et CETA, tels qu’ils sont négociés aujourd’hui, favorisent les multinationales, le démantèlement des acquis sociaux et la marchandisation de tous les aspects de la vie humaine. Exigeons la renégociation ou l’abrogation de ces traités dont beaucoup de citoyens ne mesurent pas les conséquences s’ils venaient à être adoptés en l’état.  

 

La convergence comme solution à la disparition des emplois bien payés et à la montée de la précarité :

La montée des extrêmes partout dans le monde occidental répond à une double déstabilisation identitaire et sociale. Sur le plan social, les emplois bien payés disparaissent progressivement sous la pression de la nouvelle économie et de la mondialisation. Notre solution globale est dans une régulation qui organise la convergence de la protection sociale et de la fiscalité entre économie traditionnelle et nouvelle économie, entre économies de la zone euro, entre régimes de retraite, d’où la retraite à points, entre catégories professionnelles, d’où le syndicalisme universel, … L’hétérogénéité des situations dans une même société divise et désarme les peuples face aux forces économiques. Aux rentes de situation qui se multiplient et aux inégalités qui se creusent, répond en miroir une précarité qui s’étend à de plus en plus de personnes. La convergence des systèmes sociaux, que ce soit au niveau national, au niveau européen ou au niveau mondial, est une nécessité à plus ou moins long terme si on ne veut pas assister à la montée d’une colère populaire qui nourrit les mouvements extrémistes.

 

Les investissements massifs dans le biogaz et le simili-carné :

« L’urgence écologique », le réchauffement climatique, l’appauvrissement de la biodiversité, … demandent des réponses politiques bien différentes de celles apportées jusqu’ici. Nous avons besoin de mesures efficaces avec un impact fort. Nous en proposons 2, les investissements massifs dans le biogaz et le simili-carné.

Le bio-gaz est notre « pétrole marron ». La collecte et le recyclage de nos déchets organiques, notamment dans les grands centres urbains, est une manne inépuisable de ressources énergétiques. Cela fonctionne déjà. Des bus RATP marchent au bio-gaz. 

Le simili-carné, des aliments à base de fibres végétales imitant le goût et la texture de la viande, est le sauveur de l’humanité. Si la consommation de viande continue à augmenter avec l’accession aux classes moyennes d’habitants des pays en voie de développement qui adoptent un mode de consommation proche du notre, l’humanité disparaîtra. La production de viande consomme énormément d’eau, 800 l pour 1 kg de bœuf par exemple, et de terres agricoles. Il faut d’urgence trouver une alternative. Le développement du simili-carné, qui peut être couplée avec une consommation plus rare de viande de meilleure qualité, est cette alternative. La France a des atouts considérables : une agriculture de qualité dont le simili-carné pourra être un débouché nouveau sur un marché mondial estimé à 8000 Milliards de $ par an, des terres agricoles encore nombreuses et une tradition culinaire réputée dans le monde entier.

 

L’Europe puissance avec une défense spatiale européenne :

Notre économie et notre vie quotidienne dépendent de plus en plus des nouvelles technologies et donc des satellites. Mais que se passerait-il si un état devenu hostile prenait le contrôle de ces satellites ? La Chine, la Russie et les Etats-Unis développent depuis plusieurs années des capacités militaires à mener « une guerre de l’espace ». Qu’attend l’Europe pour se préparer ? C’est notre souveraineté qui est en jeu. C’est un enjeu stratégique majeur. C’est aussi une opportunité de relancer la construction européenne autour du concept d’Europe puissance, « d’une Europe qui nous protège » pour reprendre l’expression heureuse d’Emmanuel Macron.

 

Un « Commonwealth francophone de la culture » :

Notre culture est notre bien le plus précieux. Notre culture repose sur notre langue. Prendre soin de la francophonie est la meilleure manière de contribuer au rayonnement de la France. Les pays francophones se sentent délaissés par la France. Prenons une initiative majeure, créons un « Commonwealth de la culture » pour donner un accès privilégié à nos produits culturels à tous les peuples francophones et pour faciliter l’accès de tous les artistes venus du monde francophone au marché culturel de la francophonie.

 

Oui à la vidéoprotection, Non à la vidéoverbalisation et à la verbalisation à la volée :

La vidéoprotection est efficace pour protéger les personnes et les biens. La vidéoverbalisation et la verbalisation à la volée sanctionnent des délits qui n’ont rien à voir avec cela. Elles ouvrent la porte à des abus où l’automobiliste est pris pour une vache-à-lait. Mais pire, elles mettent le doigt dans l’engrenage d’un flicage électronique extrêmement nocif pour les libertés publiques. Le rôle de la politique dans son sens noble est de porter une vision à long terme. Nous réclamons la suppression de la vidéoverbalisation et de la verbalisation à la volée.

 

La défense de l’argent liquide et des agences bancaires de proximité :

La défense des libertés publiques passe aussi par la défense de l’argent liquide. Si tous les échanges économiques deviennent traçables, nous vivrons sous le contrôle permanent de Big Brother et sous l’épée de Damoclès d’un fichage hostile, d’une erreur administrative, d’une escroquerie ou d’une usurpation d’identité. Après Monéo, le paiement électronique, la limitation des transactions en liquide à 1000€, les restrictions des banques au retrait ou au dépôt, … l’argent liquide est menacé de disparition.

Les agences bancaires de proximité aussi sont menacées de disparition sous la pression des banques en ligne. S’en réjouir au nom de l’attrait de tarifs plus bas à court terme pour les banques en ligne est une grave erreur. Les premières victimes en seront les personnes les plus fragiles.

 

La révision de la loi NOTRe, la défense des AOC et le soutien aux langues régionales :

La défense des identités locales est essentielle si nous ne voulons pas être complètement « lobotomisés » par la standardisation consumériste à l’échelle mondiale. La loi NOTRe doit donc être révisée dans ce sens. La simplification du mille-feuille institutionnel est nécessaire mais ne doit pas entraîner la destruction des identités locales. Au contraire, elles doivent être préservées précieusement tout comme les AOC et les langues régionales. Préserver et faire vivre la diversité du patrimoine culturel de l’humanité est aussi important que de préserver la bio-diversité.

 

Des zones franches dans tous les centres-villes et centres-bourgs et des places de stationnement gérées par les commerçants :

Les commerces dans les centres-villes et les centres-bourgs souffrent de la concurrence des centres commerciaux qui fleurissent en périphérie. Les problèmes liés au RSI, aux charges élevées et aux difficultés de stationnement pour leurs clients se rajoutent et conduisent de nombreux commerçants à cesser leur activité. Or ils jouent un rôle majeur en termes d’aménagement du territoire et donc dans la qualité de vie des citoyens. Comment revivifier nos centres-villes et centres-bourg qui meurent un peu partout en France ? Nous proposons d’en faire systématiquement des zones franches, avec donc des impôts et des taxes allégés, et d’attribuer à chaque commerçant une, deux ou trois places de stationnement pour ses clients qu’il gérera comme il l’entend.

 

La liberté pédagogique pour les enseignants, l’autonomie des établissements et le port de l’uniforme dans les écoles élémentaires :  

Le nouveau ministre de l’Education d’Emmanuel Macron est favorable à ces mesures qui contribueront à recentrer l’école sur sa mission première, instruire. Nous espérons qu’il pourra les mettre en place et nous le soutiendrons dans ce sens.

 

La défense des menus de substitution et le refus du voile à l’université :

La laïcité comprise dans la fidélité à l’esprit de la loi de 1905 combine le respect des croyances (et non croyances) et le refus des idéologies religieuses.  Les menus de substitution relèvent du respect des croyances. Le voile à l’université relève d’une idéologie religieuse. Apprenons à faire cette différence pour être fidèles à l’esprit de la loi de 1905 et pour une meilleure cohésion sociale.

 

Une autre approche de la crise des réfugiés :

Le mieux est l’ennemi du bien. Dans l’état actuel du droit qui multiplie les exigences contradictoires, d’un côté nous secourons mal les réfugiés et de l’autre nous refusons de prendre en compte la remise en cause même de notre identité culturelle que représente un flux migratoire massif. Réfugiés et peuples européens sont mécontents. Nous voulons rouvrir le débat. Et si on faisait l’inverse? Et si on prêtait secours à tous les réfugiés, mais qu’on n’en laissait s’installer durablement qu’un nombre limité ? C’est l’approche qu’ont le Liban, la Jordanie et la Turquie, les pays qui accueillent le plus de réfugiés. Un peu moins de moralisme de façade et un peu plus d’humanité réelle ferait du bien !

 

La réouverture de « maisons closes » en autogestion :

L’enfer est pavé de bonnes intentions. La volonté de bannir la prostitution part d’une bonne intention, refuser l’exploitation des femmes. Et il est vrai que certaines formes de prostitution le sont et doivent être combattues. Mais contrairement à ce que prétendent les associations abolitionnistes, il y a de multiples formes de prostitution et celle-ci joue un rôle incontournable pour l’équilibre de la société et la sécurité de toutes les femmes. Nos voisins belges, hollandais, allemands, suisses et espagnols l’ont bien compris et tolèrent une prostitution encadrée. Aussi, la vie est complexe et l’Etat n’a pas à se mêler de la vie privée comme il le fait de plus en plus en France. Nous ne voulons plus de cette morale hygiéniste qui étouffe notre société. C’est pourquoi nous proposons la réouverture de maisons closes, comme mesure emblématique du refus de l’hygiénisme, en autogestion, de façon à mieux protéger les prostituées.

 

L’autorisation de la cigarette électronique dans les lieux festifs, des zones de couvre-fête les vendredis et samedis soirs dans les grandes villes :

Nous voulons une société joyeuse, pas une société aseptisée. Nous voulons faire de la convivialité la principale finalité de toutes les politiques publiques d’aménagement du territoire et d’animation des quartiers. En plus d’être le moyen le plus efficace pour arrêter la cigarette traditionnelle, la cigarette électronique est une source de convivialité et de bien-être, sans effets nocifs prouvés du moment que les « parfums » utilisés soient de bonne qualité. Dans les quartiers festifs, elle a pour avantage de réduire les nuisances sonores et les jets de mégots sur la chaussée. C’est pourquoi nous demandons son autorisation. Nous voulons également des zones de couvre-fête les vendredis soirs et samedis soirs dans les grandes villes où certains quartiers seront consacrés pendant quelques heures à la fête.

 

Des maisons de retraite à prix modérés dont le personnel d’animation est collégien, lycéen et étudiant :

Le prix des maisons de retraite est déjà un problème aujourd’hui et le sera de plus en plus avec l’arrivée de nouvelles générations de seniors sans patrimoine à l’âge de la dépendance. Comparée à d’autres pays, la France manque cruellement de liens intergénérationnels. Faisons donc d’une pierre deux coups en créant un peu partout des établissements à prix modérés grâce au concours des collégiens, lycéens et étudiants locaux. Rien de mieux pour la santé des séniors que d’être en contact avec des jeunes. Rien de mieux pour la transmission du patrimoine culturel aux jeunes générations que d’être en contact avec les séniors. Diverses formes de partenariats gratuits pour les collégiens et lycéens, rémunérés pour les étudiants, pourront être mis en place. La cohésion sociale dans la France du 21ème siècle demande d’inventer de nouvelles formes de solidarité et de convivialité.

 

 

Ensemble, partageons les idées du « centrisme populaire », le courant de pensée qui réconcilie le peuple et l’avenir !

 

 

  

 

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